mercredi, avril 24, 2024
Recherches Lacan

logique

LOGIQUE

ousia, L15 7/2 140-1 ARISTOTE, /…/ il faut se reporter à son texte , et nommément dans l’Organon, au niveau de ses catégories, par exemple, ou des Premières Analytiques, ou du premier livre des Topiques, pour s’apercevoir à quel point est proche de notre problématique, de la théma­tique du sujet, telle qu’il l’énonce. /…/ Rien dans l’ousia, dans ce qui est -c’est-à-dire pour ARISTOTE- l’indivi­duel, n’est de nature à pouvoir être ni situé dans le sujet, ni affirmé, c’est-à-dire ni attribué au sujet [LACAN  évoque ici le tournant qui dans la logique mathématique fait du sujet une variable]. /…/

 

ousia, L09 27/6 535 538 Rien dans l’ousia, dans ce qui est -c’est-à-dire pour ARISTOTE- l’indivi­duel, n’est de nature à pouvoir être ni situé dans le sujet, ni affirmé, c’est-à-dire ni attribué au sujet [LACAN  évoque ici le tournant qui dans la logique mathématique fait du sujet une variable]. /…/ Le sujet c’est ce qu’un si­gnifiant représente pour un autre signifiant. Cette for­mule a l’avantage de rouvrir ce qui est éludé dans la lo­gique mathématique, à savoir la question de ce qu’il y a d’initial, d’initiant, à poser un signifiant quelconque, à l’introduire comme représentant le sujet; car c’est là, et c’est là dès ARISTOTE, ce qu’il en est d’essentiel et ce qui seul permet de situer à sa juste place la différence /…/ de l’universel au particulier. [suite sur C.S. PEIRCE.]

 

L15 7/2 140-1 ARISTOTE, /…/ il faut se reporter à son texte , et nommément dans l’Organon, au niveau de ses catégories, par exemple, ou des Premières Analytiques, ou du premier livre des Topiques, pour s’apercevoir à quel point est proche de notre problématique, de la théma­tique du sujet, telle qu’il l’énonce. /…/ Rien dans l’ousia, dans ce qui est -c’est-à-dire pour ARISTOTE- l’indivi­duel, n’est de nature à pouvoir être ni situé dans le sujet, ni affirmé, c’est-à-dire ni attribué au sujet [LACAN  évoque ici le tournant qui dans la logique mathématique fait du sujet une variable]. /…/ Le sujet c’est ce qu’un si­gnifiant représente pour un autre signifiant. Cette for­mule a l’avantage de rouvrir ce qui est éludé dans la lo­gique mathématique, à savoir la question de ce qu’il y a d’initial, d’initiant, à poser un signifiant quelconque, à l’introduire comme représentant le sujet; car c’est là, et c’est là dès ARISTOTE, ce qu’il en est d’essentiel et ce qui seul permet de situer à sa juste place la différence /…/ de l’universel au particulier. [suite sur C.S. PEIRCE.]

 

L15 28/2 188 Il est bien singulier que ce soit au niveau de la grammaire que ce soit le plus sensible qu’il n’est d’au­cune façon possible de s’acquitter de ce qu’il en est de la double négation en disant, par exemple, qu’il s’agit là d’une opération qui s’annule, et qu’elle nous ramène /…/ à la pure et simple affirmation. En effet, ceci  est déjà présent et tout à fait sensible, fût-ce au niveau de la lo­gique d’ARISTOTE, pour autant qu’à nous mettre en face des quatre pôles constitués par l’universel, le parti­culier, l’affirmatif et le négatif, elle nous montre bien qu’il y a une autre position, celle de l’universel et du particulier [mis en oppositon par la négation], où le par­ticulier est défini par un “pas-toutes” et que ceci est véri­tablement à la portée de notre main.

 

L15 6/3 198-203: Chez ARISTOTE, tout repose sur ceci, qui est dé­signé dans quelque chose qui est un signe, /…/ à savoir que, s’il a dit que “tout homme est un animal”, il peut à toutes fins utiles /…/ en extraire: “quelque homme est un animal”. /…/ il s’agit d’un rapport qu’on a qualifié de subalterne entre l’universelle et la particulière /…/. vous devez vous apercevoir que l’opération de subalternation présente quelque difficulés, parce que “tout français doit mourir pour elle” et “quelque fançais doit mourir pour elle” ce n’est pas du tout la même chose. /…/ L’important c’est que /…/ la formule de l’univer­selle négative, à savoir ce qui chez ARISTOTE  s’articu­lerait: “tout homme est sage” /…/ n’a aucune espèce d’importance. /…/ Il importe que vous voyiez dans quel ordre les choses vont se présenter:

universelles particulières

mettons à gauche les formes aristoléciennes, universelle affirmative et néga­tive; ce sont les lettres A et E qui les désignent dans la postérité d’ARISTOTE, et les lettres I et O sont les par­ticulières [I= quelque homme est sage”]  /…:/ Vous pouvez aussi mettrre au niveau de l’univer­selle: “il n’est homme qui ne soit sage”/…/ N’enlevons qu’une négation la première: “il est homme qui ne soit pas sage”. Là aussi je particularise et d’une façon qui correcpond à la particulière négative. C’est ce qu’ARISTOTE appellerait “quelque homme n’est pas sage”. A la vérité dans ARISTOTE ce “pas sage” /…/ de subalternation opposée, qui est diagonale, /…/ c’est ce qu’il appelle “contradictoire”. /…/ Ce n’est pas pareil de dire /…/ “l’homme est non-femme”/…/ Ce n’est pas pareil de dire: “pas d’homme (il s’agit du sujet, bien sûr) qui n’exclue la position féminine, la femme” ou (l’état d’exception et non plus de contradiction) “il est homme tel qu’il n’exclut pas la femme”. /…/ “Pas d’homme tel qu’il ne soit pas sage” /…/ c’est  l’univer­selle négative, ils sont tous “pas sages”. /…/ L’unité où se présente cette présence du sujet divisé, c’est celle qui motive cette conjonction des deux négations /…/ [les choses ne vont pas sans l’emploi d’un subjonctif]. “Il n’est rien qui ne le soit”, sage ou pas-sage, la chose im­porte peu. C’est ce “soit” qui marque la dimension de ce glissement de ce qui se passe entre ces deux “ne” et qui est précisément là où va jouer la distance qui subsiste toujours de l’énonciation à l’énoncé.

 

L15 6/3 205 ARISTOTE /…/ ce qui lui importait, c’était de sa­voir justement, à cause de ceci que la pensée ne datait pas d’hier, ce qui d’une énonciation pouvait faire une chose nécessaire; pas moyen de céder sur ce point. La première ananké  c’est l’ananké  du discours. La logique formelle d’ARISTOTE était le premier pas pour savoir ce qui /…/ au niveau de l’énoncé, pouvait se formuler comme donnant de cette source /…/ sa nécessité à l’énonciation /…/ Aussi bien, c’est le sens qu’avait à cette époque le terme d’epistémé; c’est celui d’une énonciation sur la distinction de l’epistémé et de la doxa, qui n’est rien d’autre qu’une distinction qui se situe au niveau du discours. /…/ Je dis que le seul discours que nous ayons sur l’inconscient, celui de FREUD, fait sens; /…/ il fait sens comme on fait eau de toutes parts. Tout fait sens, je vous l’ai montré: “Colourless green ideas sleep fu­riously” fait sens aussi. C’est même la meilleure carac­térisation que l’on peut donner du discours analytique.

 

L15 13/3 218 [à propos du creux de la variable de FREGE] Ceci n’est fait que pour /…/ vous montrer à quoi répond la nécessité de ce creux /…/ que quelque part mérite  d’être isolé le terme qui logiquement /…/ donne corps, /…/ la base à partir de laquelle /…/ par la seule opération de la négation diversifiée, pourront se formu­ler toutes les positions premières qui sont définies, ap­portées par ARISTOTE. A savoir que, par exemple, c’est à mettre ici, sous la forme de ce trait vertical, la négation, qu’il sera pour tout homme vrai que l’homme n’est pas sage, c’est-à-dire que nous incarnerons l’uni­verselle négative.

 

L18 10/3 5 Pas de topologie sans écriture; vous avez peut-être même pu remarquer, si jamais vous êtres vraiment allés ouvrir le Analytiques de monsieur ARISTOTE, que là il y a le petit commencement de la topologie et que ça consiste précisément à faire des trous dans l’écrit. “Tous les animaux sont mortels”, vous soufflez les animaux, et vous soufflez “mortels” et vous mettez à la place /…/ une lettre toute simple.

 

L18 18/5 8-9 Comment d’abord se présente ce qui inaugure le tracé de la logique, à savoir comme  logique formelle et dans ARISTOTE? Bien sûr,/…/ ça serait très instructif /…/ à se donner seulement la peine d’ouvrir les Premières Analytiques /…/ Ils y verront ce que c’est qu’un syllogisme. /…/ L’homme de “tout homme”, quand il est le su­jet, implique une fonction de l’universelle qui ne lui donne pour support /…/ que de son statut symbolique, à s’avoir que quelque chose s’énonce “homme”. /…/ il est à ce moment justifiable de poser que “l’homme est bon”; c’est une limitation. /…/ très précisément en ceci, que ce sur quoi peut se fonder que “l’homme est bon” tient à ceci, mis en évidence depuis longtemps et d’avant ARISTOTE, que l’idée du bon ne saurait s’instaurer que du langage.

 

L19 8/12 11 Il y a 3 registres /…/ déjà émergés de de l’élabora­tion logique /…/ autour desquels tournera cette année mon effort pour développer ce qu’il en est des consé­quences de ceci: 1° /…/ les prosdiorismes. /…/ le pas-tous. [la fonction qui rend impossible l’accès au rapport sexuel] la jouissance.

 

L19 8/12 13 ARISTOTE joue des quatre catégories de l’impos­sible [qu’il oppose au possible, au nécessaire et au contingent]. Nous verrons qu’il n’est rien de tenable dans ces oppositions. Aujourd’hui je vous pointe simple­ment ce qu’il en est d’une formulation du nécessaire, qui est proprement ceci: ne pas pouvoir.

 

L19 15/12 2-3 Le première fois qu’on entre à proprement parler dans la logique, il s’agit d’ARISTOTE et des Analytiques, on se sert de la lettre aussi. Pas tout à fait de la même façon que celle dont la lettre revient à la place /../ du signifiant qui traîne /…/ partout. /…/ Il faut qu’il y ait une espèce de transmutation qui s’opère du si­gnifiant à la lettre quand le signifiant n’est pas  là, quand il est à la dérive, foutu le camp, dont il faut se demander comment ça peut se produire.

 

L19 15/12 10-11 Écrire ça comme ça Φ x, c’est écrire une fonction d’une portée, comme dirait ARISTOTE, incroyablement générale. /…/ Enfin, il y a moyen d’écrire que pour tout x, ça fonctionne. C’est le propre d’une façon d’écriture, qui est issue du premier traçage logicien, dont ARISTOTE est le responsable. Ce qui lui a donné ce prestige, qui tient du fait que c’est formidablement jouissif, la logique, justement parce que ça tient du champ de  la castration. /…/ Si vous voulez aller chercher simplement les Premières Analytiques, ce qu’on appelle plus exactement les Analytiques antérieures /…/ je vous recommande quand même ce qu’on appelle le Livre I, chapitre 46; de lire ce qu’ARISTOTE produit sur ce qu’il en est de la négation. A savoir sur la différence qu’il y a à dire “l’homme n’est pas blanc”, si c’est le contraire de “l’homme est blanc”, ou si /…/ le contraire c’est de dire “l’homme est non-blanc”. C’est absolument pas  la même chose. [sur la logique des prédicats ].

 

L19 19/4 4 ARISTOTE nous dit qu’après tout ce n’est pas l’idée du cheval qui est réelle, c’est le cheval bel et bien vivant; n’est-ce pas ce d’où partait PLATON, qui est à savoir: que c’est de participer à l’idée de cheval que le cheval se soutient, et que ce qu’il y a de plus réel, c’est l’idée du cheval. Si nous nous plaçons sous l’angle /…/ aristotélicien, il est clair qu’il y a contradiction entre l’énoncé que pour tout x, il remplit dans Φx la fonction d’argument (sumbebetikos), et le fait qu’il y ait quelque x ne peut remplir la place d’argument () que dans l’énonciation exactement de la première. Si on nous dit que tout cheval /…/ est fougueux, et si on y ajoute qu’il y a quelque cheval -au moins un- qui ne l’est  pas, dans la logique aristotélicienne, ceci est une contradiction.

 

L21 12/2 85-6 Pour qu’un système du monde existe, il n’y a qu’un seul moyen /…/ c’est de faire des suppositions. Ce qu’il y a plein d’arrêtes -je veux dire de stimulent- dans un dis­cours comme celui d’ARISTOTE /…/ ce qu’il y a de stu­péfiant, c’est qu’il n’y a pas de texte où ce soit plus clair, ce qu’on appelle supposition. Cette distinction que je viens de vous articuler aujourd’hui entre le dire vrai et la science du Réel /…/ est quelque part /…/ dans les Premières Analytiques /…/ au 49b /…/ “Par exemple, il n’y a aucune différence entre dire /…/ l’objet de la sup­position n’est pas le genre de l’objet de l’opinion, et dire l’objet de l’opinion n’est pas identique avec un certain objet de supposition  (car le sens est le même dans les deux jugements), au lieu de la locution énoncée, il vaut mieux poser comme termes”/…/ “l‘objet de la supposi­tion et l’objet de l’opinion“./…/ tout ce dont il nous parle dans les Premières Analytiques c’est quelque chose qui nous fait com­prendre combien, quand on est dans l’ordre du Réel, il faut faire des supposition. /…/ Nous sommes obligés de supposer, enfin, les choses les plus folles: l’esprit, la matière /…/ to upolepton, le soupçonnable.

 

L21 19/2 92 Jaakko HINTIKKA a fait un bouquin qui s’appelle Time and Necessity, avec comme sous-titre: “Etude sur la théorie de la modalité d’ARISTOTE”. Ça n’est pas mal. /../ Ça suppose /…/ que HINTIKKA /…/ m’avait devanc”é depuis longtemps /…/ sur ce que je vous faisais remarquer la dernière fois, que l’Organon d’ARIS­TOTE, ça vaut la peine d’être lu parce que /…/ ce qui est difficile c’est bien de savoir, chez un frayeur /…./ comme ARISTOTE /…/ pourquoi il a choisi ces termes là est pas d’autres. /…/ C’est à ça que se reconnaît le trois du Réel /…/ c’est que ça ne déplace pas tout. /…/ Ce que j’ai avancé c’est qu’il y a déjà une logique. Et c’est même ce qui peut surprendre. Si ARISTOTE ne l’avait pas commen­cée elle ne serait pas déjà là. Alors j’arrive là et je dis: c’est le savoir du Réel. /…/ J’y reconnais le trois. Mais le trois comme nœud.

 

L21 19/2 96 Si nous employons le terme d’ARISTOTE, l’upar­kein  en question,, “l’appartenir à” /…/ de la façon dont ARISTOTE l’emploie, c’est-à-dire sans savoir par quel bout l’attrapper, nous voyons que le sexe uparké, appar­tient à la mort, à moins que la mort n’appartienne au sexe /…/.

 

L22 11/3 ORN 20

 

S2 57 “Radiophonie”. Tout homme/…/ est  mortel. /…/. Et maintenant parlons de “tout”, c’est le cas de le dire, parlons en­semble, passant muscade de ce qu’il y a sous la tête des syllogistes (pas d’ARISTOTE, notons-le) qui d’un seul coeur (depuis lui) veulent bien que la mineure mette SOCRATE dans le coup. Car il en ressortirait aussi bien que la mort s’administre comme le reste, et par et pour les hommes, mais sans qu’ils soient du même coté pour ce qui est de la télépathie que véhicule une télégraphie, dont le sujet dès lors ne cesse pas de s’embarrasser.

 

S4 15: “L’étourdit”. Il n’y a rien d’excessif au regard de ce que nous donne l’eXpérience, à mettre au chef de l’être ou de l’avoir le phallus /…/ la fonction qui supplée au rapport sexuel. D’où une inscription possible /…/ de cette fonc­tion comme Φx), à quoi les êtres vont répondre par leur mode d’y faire argument. Cette articulation de la fonc­tion comme proposition est de FREGE. /…/ Tout peut en [logique du complexe d’Oedipe] être  maintenu à se développer autour de ce que j’avance de la corrélation logique de deux formules qui, à s’inscrire mathémati­quement  pour pas tout x phi de x, et il existe un x non phi de x, s’énoncent 1° Pour la première: pour tout x, Φx est satisfait. 2° la seconde, il y a par exception le cas /…/ où il existe un x pour lequel la fonction Φ n’est pas satisfaite.C’est précisément d’où se conjugue le tous de l’uni­verselles /…/ à l’il existe un que le quantique lui apparie, sa différence étant patente avec ce qu’il implique la pro­position d’ARISTOTE dite particulière. Je les conjugue de ce que le il existe un  en question, à faire limite au pourtout, est ce qui l’affirme ou le confirme (de ce qu’un proverbe objecte déjà au contradictoire d’ARIS­TOTE. La raison en est que ce que le discours analy­tique concerne, c’est le sujet, qui, comme effet de signi­fication, est réponse du réel. Cela je l’articulai, dès l’onze avril 56, en ayant texte recueilli, d’une citation du signifiant asémantique, ce pour les gens qui y eussent pu prendre intérêt à s’y sentir appelés à une fonction de déjet.

 

MOITIÉ DE SUJET S4 22 Étourdit Ici j’abats mes cartes à poser le mode quantique sous lequel l’autre moitié, moitié de sujet, se produit d’une fonction à la satisfaire, soit à la compléter de son argument. De deux modes dépend que le sujet ici se propose d’être dit femme. Les voici:  il n'existe pas x non phi de x et  pour pas tout x phi de x /…/ Nier qu’il existe un ne se fait pas et moins en­core que pourtout se paspourtoute. C’est là pourtant que se livre le sens du dire, de ce que, s’y conjuguant du nia­nia qui bruit des sexes en compagnie, il supplée à ce qu’entre eux de rapport nyait pas. Ce qui est à prendre non pas dans le sens qui, de réduire nos quanteurs à leur lecture selon ARISTOTE, égalerait le nexistun au nulnest (qu’il a pourtant su for­muler) à témoigner de l’existence d’un sujet à dire que non à la fonction phallique, ce à le supposer de la contrariété dite de deux particulières. Ce n’est pas là le sens du dire qui s’inscrit de ces quanteurs. Il est: que pour s’introduire comme moitié à dire des femmes, le sujet se détermine de ce que, n’existant pas de suspens de la fonction phallique, tout puisse ici s’en dire, même à provenir du sans raison. Mais d’un tout d’hors [TU DORS/TUDOR] univers, lequel se lit tout de go du second quanteur comme pastout.

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