MARQUE
- marque L09 20/12/61 p.125: Cette structure sonore /…/ nous devons la respecter, et ce en raison de l’affinité justement du nom propre à la marque, à la désignation directe du signifiant comme objet /…/ de la naissance du signifiant à partir de ce dont il est le signe.
- marque L09 20/12/61 p.113: Si quelque chose est un nom propre c’est pour autant que ça n’est pas le sens de l’objet qu’il amène avec lui, mais quelque chose qui est la marque appliquée en quelque sorte sur l’objet, superposée à lui /…/.
- marque L09 20/12/61 p.125: Cette structure sonore /…/ nous devons la respecter, et ce en raison de l’affinité justement du nom propre à la marque, à la désignation directe du signifiant comme objet /…/ de la naissance du signifiant à partir de ce dont il est le signe.
- marque L09 20/12/61 p.130: Nous amenés comme tels à définir le champ [du langage] comme caractérisé par les valeurs structurales qui lui sont propres. Dès lors, il faut bien, pour nous, établir la jonction de son fonctionnement avec ce quelque chose qui en porte, dans le réel, la marque. [cf. plus loi: la marque de la négation].
- marque L09 10/01/62 p.144: ce qui dans l’une fois perçu est l’identiquement identique /…/ c’est le perçu de cette fois là; c’est cette bague qu’il s’est passée au doigt avec le poinçon de cette fois là, et c’est justement celà qui manquera toujours: c’est qu’à toute réapparition de ce qui répond au signifiant originel, au point où est la marque que le sujet a reçue de ce quoi que ce soit qui est à l’origine de l’Urverdrängung, il manquera toujours à quoi que ce soit qui vienne le représenter, cette marque, qui est la marque unique du surgissement /…/ du signifiant originel, qui s’est présenté une fois, au moment où quelque chose de l’Urverdrängt en question est passé à l’existence inconsciente, à l’existence de cet ordre interne qu’est l’inconscient.
- marque L09 24/01/62 p.187: si survenant je trouve trace de ceci qu’on s’est efforcé d’effacer la trace, ou si même je n’en trouve plus trace de cet effort, si je suis revenu /…/ que je trouve que, sans aucun corrélatif qui permette de rattacher cet effacement à un effacement général de la configuration, on a bel et bien effacé la trace comme telle; là je suis sûr que j’ai affaire à un sujet réel. /../ ce que le sujet cherche à faire disparaître c’est son passage /…/. Ceci n’est pas un mauvais trait pour que nous reconnaissions le passage du sujet quand il s’agit de son rapport au signifiant /…/ tout ce que je vous enseigne de la structure du sujet /…/converge vers l’émergence de ces moments de fading proprement liés à ce battement en éclipse de ce qui n’apparaît que pour disparaître et reparaît pour de nouveau disparaître, ce qui est la marque du sujet comme tel.
- marque L09 10/01/62 p.144: ce qui dans l’une fois perçu est l’identiquement identique /…/ c’est le perçu de cette fois là; c’est cette bague qu’il s’est passée au doigt avec le poinçon de cette fois là, et c’est justement celà qui manquera toujours: c’est qu’à toute réapparition de ce qui répond au signifiant originel, au point où est la marque que le sujet a reçue de ce quoi que ce soit qui est à l’origine de l’Urverdrängung, il manquera toujours à quoi que ce soit qui vienne le représenter, cette marque, qui est la marque unique du surgissement /…/ du signifiant originel, qui s’est présenté une fois, au moment où quelque chose de l’Urverdrängt en question est passé à l’existence inconsciente, à l’existence de cet ordre interne qu’est l’inconscient.
- marque 162: Dans toutes les langues une évolution se marque comme d’un glissement que les linguistes essaient de caractériser des formes de la négation. Le sens de ce glissement s’exerce /…/ dans la distinctions de deux formules également admissibles /…/ celle du « je ne sais » avec le « j’sais pas » .